Soulève tes paupières
regarde-moi dans les mots
le coeur béant
laisse aller le souffle et la lumière
entre nous
plus rien n’est menace
tout est à étreindre.
Dans ce passage confidentiel
passerelle au-dessus du temps
n’aie plus peur
même si je bouscule un peu tes certitudes
les miennes sont déjà dans le vent.
P. Ryckewaert
14.12.20
.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire