29.1.09

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Gris sur blanc
Blanc sur gris
Tout s'efface
Tout se révèle
Les traces s'impriment
Figées comme dans un ciel d'hiver
Peu à peu s'estompent les apparences
Pour renaître au coeur du temps
Sur les cordes sensibles de nos silences
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8 commentaires:

Serge a dit…

J'aime bien, juillev.

Trublyonne a dit…

Chuuuut !

Anonyme a dit…

T'en fais exprès de faire que des tableaux qui me plaisent ???...

toutaubord a dit…

On dirait une porte, une porte bloquée. Ce qu'il y a derrière est à cacher ? à oublier ? Un cajibi sombre pour infliger des punitions... dis c'est pour quand le printemps, j'en ai marre de ce temps pourri ?! Bises

eveline Gallet a dit…

Merci Serge!

Sylvie:...et pourtant, qu'est-ce quon est bavarde!

Marie: Eh!... tant mieux s'ils te plaisent

Thierry: ... Ou peut-être une fenêtre à ouvrir
bientôt le printemps, il y a déjà des primevères dans mon jardin!

Anonyme a dit…

pas de mots; juste apprécier dessin et texte

Anonyme a dit…

long time no see...chut !

Anonyme a dit…

Il règne une grande sérénité sur cette toile. Comme après un orage.
Elle me plait beaucoup, sans savoir vraiment pourquoi (je parle de ce qu'elle fait raisonner en moi).