17.3.11

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Ne voyez vous pas comme il est triste cet oiseau blanc
Ni le bleu du ciel, ni le bleu de la mer
Ne déteignent sur lui qui flotte dans le vent.
Combien de monts, combien de fleuves faudra-t-il franchir
Pour ce pays où finit la tristesse
Aujourd'hui encore, Ah, Partons
Wakayama bokusui (1885 -1928)

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2 commentaires:

elisanne a dit…

beau et émouvant en ces temps douloureux pour ce peuple...

eveline Gallet a dit…

Merci Elisanne
Je connais un petit peu le japon et bien sûr, je suis touchée par ce qui arrive